Toutes mes réponses sur les forums
- AuteurMessages
- en réponse à : Intelligence artificielle – L’ultime révolution #12751
Bon, je viendrais de laisser dans le site deux messages sous les rubriques L’ontologie comme fondement des sciences et La vraie définition du transhumanisme. Je vous informerais que sous elles, je spécifierais directement ou indirectement que, si l’on passerait ou brûlerait des étapes, on risquerait d’être à côté de la plaque, d’être laxiste, de manquer de rigueur méthodologique ou scientifique. Effectivement, si nous tenterions d’expliquer la mécanique de quelque phénomène que ce soit, n’aurait-on pas remarqué que ce serait de cette façon que nous aurions pu évoluer? Parce que la théorie (mécanique) newtonienne n’aurait pu expliquer cette notion obscure de force comme certaines choses (ex. : le périhélie de Mercure), ne serait-ce pas comme cela qu’un certain Einstein aurait pu découvrir que le temps ne serait pas universel? Que la courbure de l’espace-temps expliquerait plus volontiers la gravitation? Que nous aurions nos GPS, etc.? Concernant ces rubriques, si vous iriez voir, vous pourriez découvrir qu’il n’y aurait pas de transhumanisme comme d’homme augmenté, et que l’ontologie, par ou non l’épistémologie, pourrait consister à définir la science.
Pour l’IA, nous pourrions nous demander comment elle pourrait faire problème, et ce, au même titre qu’une simple cuillère pourrait être un simple outil qui, de surcroît, pourrait avoir d’autres fonctions pas trop inutiles. Premièrement, nous l’aurions inventée parce que, comme je l’aurais mentionné ailleurs, nous en aurions eu besoin, et ce, au risque de se mettre des bâtons dans les roues si ça n’aurait jamais fonctionné. Fonctionnant déjà en bonne partie, non par dérapage, mais puisque nous obtiendrions des résultats probants, ne pourrait-ce pas consister en un indicateur sérieux pour ce qui concernerait son avenir? Déjà, nous saurions qu’une simple calculette, calculerait plus rapidement que nous, qu’un simple ordinateur, pourrait posséder une plus grande capacité de mémoire que nous, etc. Ne pourrions-nous pas, par conséquent, se dire que ces deux choses, intégrées dans une IA, ne seraient pas trop problématiques? Si à partir de là, nous lui dirions de calculer certains nombres précis mis dans sa mémoire, serait-ce que, après l’avoir testée, des résultats probants pourraient nous être donnés? Si nous lui disions d’en faire la moyenne, la médiane, etc., serait-ce que ça pourrait encore fonctionner?
À un autre niveau, si nous lui demandions d’aller chercher tous les noms dans un annuaire téléphonique (mis dans sa mémoire). Que nous lui demandions de chercher tous les Gaétan, d’en calculer le nombre, etc., serait-ce que ça ne risquerait pas de bien fonctionner? Nous pourrions ainsi aller plus loin, mais nous comprendrions quand même préalablement que, si nous-même et de cette façon, nous ne perdrions pas trop la carte, serait-ce que les IA pourraient nous être vraiment nuisibles un jour ou l’autre? Nous n’oublierions pas surtout que, nous coévoluerions avec elles, aurait pu dire x, et que, si nous-même nous ne serions trop déconnecté d’une certaine réalité, nous risquerions d’être objectif, d’écarter les pires scénarios imaginés, etc. Sans en faire plus spécifiquement la promotion, serait-ce que nous pourrions être utile pour ceux qui pourraient souffrir de cancers et autre du genre? Bien sûr, nous saurions que, pour le cancer, les bons paramètres devraient être là. Mais que pour la rareté des cas concernant cette pathologie, un oncologue ou… pourrait aller vérifier après coup, s’assurer de x, faire quelque grossissement, alors que, au contraire, une personne n’aurait pu être dépistée pour enfin en mourir.
Pour le reste, nous saurions que si des intérêts purement économiques et autres du genre seraient trop une priorité, nous risquerions de perdre de vue la personne qui, comme l’on saurait, serait davantage qu’un signe de dollar. Que par conséquent, ce ne serait pas l’IA algorithmée par l’homme qui pourrait faire problème, mais bel et bien entre autres les industriels pouvant en exiger x chose sans en considérer la santé des personnes. Pour faire suite, qui en oublieraient certains paramètres internes ou externes. Qui croiraient que ce seraient les suffisants ou les meilleurs, etc. Que si une vulgaire cuillère pourrait être utile comme sauver des vies, tel serait effectivement le cas, la faute ne pouvant être qu’imputée au criminel, jamais à celle d’une vulgaire cuillère inanimée. Pour la science-fiction, elle nous ferait réfléchir ou pas comme pourrait ou non nous faire craindre le pire avec les conséquences sociétales que cela pourrait engendrer, nous ne saurions trop. Pour le reste qui pourrait être de l’ordre qu’elle prenne ou fasse certaines choses en deuxième instance, nous comprendrions que si la chaîne serait trop longue, en cas de bris ou manipulation, là, il pourrait y avoir dérapage.
en réponse à : Que va-t-il arriver à l'évolution de l'homo sapiens ? #12750Parfois, il ne se passerait rien, même si les conditions extérieures changeraient et en fonction des gènes qui pourraient nous être néfastes? Nous pourrions plutôt penser que non, soit en dégradant sa nature irrémédiablement, soit en faisant en sorte qu’il s’adapte, ou plus exactement qu’il trouve des moyens de supplanter ce qui lui fait mal concrètement dans le but de retrouver sa forme ou son homéostasie (équilibre). L’entraînement physique (motivé) avec ou non charges additionnelles en seraient une preuve : plus de force, flexibilité, endurance… de vie en termes quantitatif et, surtout, qualitatif. Pour les espèces, depuis des centaines, voire des milliards d’années, des organismes seraient restées les mêmes (croco et Cie), ou revenues à des stades non pas primitifs – tout organisme étant adapté à son propre environnement en fonction des contextes -, mais antérieurs en redéveloppant entre autres des nageoires (baleines?), etc. Pour la distinction entre nature et culture, attention, nous saurions qu’elle serait un leurre (laxisme), tout ne pouvant au fond qu’être naturel, les technologies témoignant toujours d’un certain besoin fondamental, les gènes ne pouvant aussi qu’autrement être support de la vie.
Pour le reste, dites-nous, depuis quand une invention, manipulation, etc. à l’échelle de tous les humains que nous serions, auraient été nécessaires pour notre survie comme le serait prochainement? Sous la rubrique La vraie définition du transhumanisme (l’ayant proposée anonymement) dans le présent site, j’aurais certes mentionné le fait que la médecine aurait pu faire en sorte que nous vivrions plus longtemps. Mais le qualitatif étant plus important que le quantitatif, nous saurions que ce serait de la vie qualitative que vous devrions ajouter à nos années quantitatives, et non pas l’inverse, soit des années à notre vie. À quoi servirait-il de vivre, effectivement, si ce serait pour souffrir plus longtemps dirait x? N’en mourrions-nous pas? La liberté (leurre) n’existant pas vraiment autrement dit, certes, nous aurions eu besoin de médicaments, etc. (technologies), mais nous saurions qu’ils n’auraient pas été nécessaires pour certains d’entre nous. Sinon, oui, mais nous saurions pourtant que nous mourrions encore, dans certains pays, de vieux problèmes qui pourraient remonter à la nuit des temps, et ce, en très bas âges ou non, toutes catégories confondues. Nous pourrions aussi savoir que d’autres pourraient revenir, comme les pandémies.
en réponse à : La vraie définition du transhumanisme #12749Si le transhumanisme possèderait plusieurs définitions, serait-ce que ça pourrait vouloir dire tout et n’importe quoi d’incohérent, qu’il n’en aurait pas vraiment sinon, ou quelque chose comme ça? Comme j’aurais pu préciser sous certaines vidéos dans YouTube ou pour The Flares concernant cette question, une paire de lunettes, une hanche artificielle, un nouveau cœur, etc., ne feraient jamais de nous des transhumains ou transhumanistes. La raison? Parce que des lunettes (coûteuses) et tout le reste, ne remplaceraient jamais de vrais yeux, comme des béquilles aussi ne nous donneraient jamais des jambes avec leurs flexibilités sans égaux, n’étant personne fait de toute façon pour ça. Par conséquent, ne devrions-nous pas plus volontiers parler de simple humanisme dans le sens que nous pourrions faire ces prothèses pour nous (les animaux), mais aussi pour nos semblables qui pourraient en avoir autant besoin que nous, sinon plus?
Bref, il pourrait nous sembler que ceux qui croiraient au transhumanisme, ce pourraient être ceux (déconnectés) qui croiraient trop encore à la notion de liberté (hasard) comme j’aurais pu répéter ailleurs. La raison? Jusqu’aux dernières nouvelles ou preuve du contraire, nous nous serions spécialisés avec un front droit par rapport aux Néandertaliens disparus qui avaient un front incliné. Mais cela n’aurait jamais voulu dire que nous deviendrions transhumanistes, comme si ladite évolution biologique non libre devrait s’arrêter. Bien sûr, nous aurions pu inventer les lances, flèches, etc. Mais nous aurions pu aussi ne pas, comme sans doute nos ancêtres qui n’auraient eu qu’à prendre leur main pour décrocher une pomme dans un arbre pour s’en nourrir. Pour le reste, les arcs et les flèches, ne serait-ce pas le soir venu que nous pourrions s’en débarrasser dans le but de s’étendre sur une simple paillasse? Bien sûr, une simple paillasse, avouons que ça pourrait faire moins transhumaniste aux yeux des transhumanistes eux-mêmes.
Pour le reste, oui, grâce entre autres aux progrès de la médecine, nous vivrions quantitativement plus longtemps. Mais pour cela, pour simplement remplir de simples fonctions biologiques comme boire, manger, copuler qui seraient nos seuls et principaux besoins fondamentaux de base (heureusement), ce ne serait pas que ç’aurait bien changé depuis qualitativement. Serait-ce aussi que, du jour au lendemain, nous serions tous obligés par quelque prothèse ou médicament à cause d’un environnement intérieur ou extérieur devenu trop toxique? Oui pour certains d’entre nous, mais non pour la plupart qui n’en n’aurait jamais eu besoin. Autrement dit, n’étant pas fait non plus pour prendre des médicaments, suivre quelque prophylaxie coûteuse pour nos systèmes de santé, comme je l’aurais ailleurs précisé, s’agirait-il toujours de survie? Il pourrait encore sembler que non pour la plupart d’entre nous et que, par conséquent, le transhumanisme ne voudrait rien dire.
en réponse à : L'ontologie comme fondement des sciences #12747Les mots pouvant effectivement faire problème comme être insuffisants, ne trouveriez-vous pas que ce genre de phraséologie serait problématique parce que contradictoire? Et au plaisir diriez-vous?! Mmm, il me semblerait déjà avoir entendu ou lu ça quelque part… Quoiqu’il en serait, si on nous dirait qu’une pomme serait à la fois verte et rouge, ou blanche et noire, si ce ne serait un pur délire, est-ce que ça se pourrait? Si oui, pour quelle raison que pourrait nous fournir la personne, ce qui pourrait prendre ou non une certain temps à savoir? Se serait-elle mise à notre place aussi pour savoir la tête que l’on ferait après une telle annonce, sans plus de détails? De toute façon, comme j’aurais mentionné plus haut, tous les termes auraient une certaine connotation, donc une certaine définition en fonction des personnes, des contextes, des expériences. Pour exemple, le mot chien pourrait mordre pour un membre du crime organisé, alors que pour d’autres, il serait aussi gentil que le caniche de la vieille dame qui n’aurait que ce seul compagnon pour finir ses jours.
Soit dit en passant et comme contexte similaire, vous me feriez penser à ma mère âgée souffrant de surdité. Elle me dirait qu’elle ne m’entendrait pas parfois suite à tel ou tel appel que je ferais (la sonnerie étant bizarre, etc.). Je ne m’en plaindrais pas, mais tout en l’avertissant ou l’informant de la situation pour qu’elle puisse s’ajuster si elle en serait capable. Elle me répèterait constamment que ce serait dû au fait qu’elle serait trop vieille, etc. Moi, je lui répéterais constamment que je le saurais, elle, pouvant du surcroît avoir des problèmes de mémoire, parlant pour dire ce que tous saurions déjà (radotant), devant me rappeler x, etc. Nous saurions vous et moi que, plus fondamentalement, ce serait dû à sa surdité, et ce, même si elle serait en quelque lieu autrement éloigné. Mais, elle, ne se mettant pas à ma place tout en devant essayer de savoir, que voudrait-elle dire? Sur quoi devrais-je mettre un certain accent vigilant, ne m’ayant jamais dit où elle ne m’entendrait plus précisément… Oui, ce serait difficile d’aider nos proches âgés et de devoir s’adapter.
Pour le reste, que pourrais-je ajouter d’autre? Se comprendre soi-même en fonction de ses conditionnements ou connaissances, oui, ce serait tout à fait ça pour nous tous. À ce sujet, un certain Henri Laborit aurait pu affirmer que nous ne serions que les autres, et ce, du physique au sociologique en passant par le biologique et le psychologique. Ne serions-nous pas faits effectivement des mêmes particules subatomiques, molécules biologiques, conditionnements, sociocultures? Enfin, pas tout à fait, et tout dépendamment de l’expérience comme des acquis scientifiques que nous aurions pu faire ou savoir de ces différents niveaux d’organisation. Déjà, la notion de niveau d’organisation pourrait en rebuter plus d’un, pourquoi? Ne serait-ce pas parce qu’ils pourraient avoir quelque préjugé ou jugement de valeur socioculturel à propos de cette notion, qui ne serait plus fondamentalement d’ailleurs aucunement en lien avec les hiérarchies de dominance qui pourraient régner dans nos sociétés?
Merci encore pour votre intervention, tout en espérant vous avoir appris quelque chose.
en réponse à : L'ontologie comme fondement des sciences #12737Non, je ne serais pas toujours présent sur cette plateforme, ayant cependant reçu votre message dans ma boîte à courriels, mais comme je pourrais aussi répondre sous certaines vidéos YouTube. Et, non, vous ne m’auriez que si peu froissé, sinon, pas du tout, certains aspects de ce qui serait une connaissance pouvant être toutefois assez mal généralisés (structure, niveau d’organisation, régulation…). Aussi, n’étant pas moi-même parfait, la perfection n’étant non plus de ce bas-monde, dirait l’expression sociologique connue (me lire plus haut), il m’arriverait aussi de ne pas comprendre.
Pour le reste, pour ce que j’aurais encore mentionné, si vous sauriez lire comme moi, ce serait tout simplement que cet univers nous échapperait et comme pourrait le faire une savonnette humide entre nos doigts. Que par conséquent, quoiqu’aussi pour la philosophie pourrions-nous croire à l’origine des sciences, il y aurait l’ontologie qui s’y serait plus particulièrement intéressée. Je pourrais vous confirmer que, à la petite école ou pas, ontologie pourrait juste vouloir dire, pour le préfixe onto, être, et pour le suffixe logie, maison, logos, étude, ou dans le genre (l’étude de l’Être, comme de toute chose).
Sachant cela, je ne pourrais que vous répéter que l’univers, voire quoi que ce soit d’autre pouvant nous échapper, que ce ne serait par conséquent qu’une (re)définition qui pourrait être le plus à même de nous aider. Mais que, malheureusement, on le saurait par expérience, sans jamais que ce soit un absolu, ne choisissant pas vraiment quoi que ce soit, la liberté n’existant pas vraiment (le hasard non plus cependant), un accident (contingence) étant toujours si vite arrivé. Combien de fois, effectivement, aurions-nous pu penser ceci ou cela, alors que serait arrivé x (intempéries, catastrophes, événements, etc.)?
Pour la métaphysique, nous n’aurions peut-être pas à nous en faire, car aux dires de certains, ce que nous viendrions déjà de considérer… ça pourrait déjà en faire partie. Mais, trêve de philo, de science, autre ou pas, nous aurions vécu pour nous-même, et saurions que, ne serait-ce qu’à l’occasion, nous prendrions conscience que la vie ne serait pas un long fleuve tranquille (expression connue). Que par conséquent, il faudrait s’informer du mieux que l’on pourrait, parfois avec les moyens du bord, ce que serait déjà la science qui ne serait jamais un absolu, mais quand même un minimum pour agir.
Merci à vous de m’avoir lu et bonne chance dans votre vie.
en réponse à : L'ontologie comme fondement des sciences #12735Je ne saurais trop si ce serait pour toujours, mais dans le but peut-être de pas trop compliquer les choses sans passer ou brûler quelque étape, ne pourrions-nous pas commencer par aujourd’hui? Le passé, le présent, le futur, etc., ne sachant pas vraiment ontologiquement ce que serait le temps, tout en utilisant cependant des concepts – je vous l’accorderais -, qu’est-ce que ce serait au juste? Est-ce que ces notions ne seraient pas déjà fortement biaisées, connotées, fausses en fonction de nos propres définitions du moment? Pour résumer les choses, est-ce que même le mot résumé, ne serait pas problématique, mais tout en voulant me dire de votre part que vous ne me donneriez pas toutes les informations nécessaires pour que je puisse vous répondre correctement? Serait-ce correct et éthique selon quelque critère objectif, quoique l’objectivité ferait problème en fonction de critères que vous et moi devrions connaître préalablement?
Pour le reste, tout existerait bel et bien toujours, mais pour vous et moi, un coup de pied au cul dirait H.L., qu’est-ce que ce serait et après l’avoir ou non reçu? D’où viendrait-il, pourquoi, comment, etc.? Sur le plan de l’ontologie, qu’est-ce que ce serait au juste, mais tout en pouvant bel et bien exister, ce qui ne serait pas contradictoire? Et, bien sûr, par extension, qu’est-ce que serait l’atome que l’on supposerait être à la base de tout et pour relativiser? Qu’est-ce que serait la vie qui en serait faite? Qu’est-ce que serait tous les niveaux d’organisation, de la matière disons inanimée à celle animée, cette distinction elle-même pouvant être problématique en quoi que ce soit? Qu’est-ce que serait les mots que j’utiliserais qui pourraient pourtant fortement être biaisés, connotés, etc. Est-ce que cela ne nous rappellerait rien (lire le paragraphe plus haut)? Pour le reste, étant d’un naturel optimiste, n’ayant pas le choix de vivre non plus, nous nous démerderions avec ce qui existerait déjà, mais selon vos propres dires, qui ne serait jamais un absolu, ce qui serait exact.
en réponse à : L'ontologie comme fondement des sciences #7577Bonjour Dallas. J’ai décidé de modifier le moindrement ce que je venais tout juste de te répondre, tout en espérant que ce qui suivra ne pourrait pas paraître comme un spam (une répétition) dans la présente tribune. Comme je venais de te dire aussi, on excusera mes fautes dans ma précédente intervention que je n’ai pas pu modifier ou éliminer, THE FLARES m’ayant répondu que ce ne pourrait pour l’instant être possible. Dans ce qui va suivre, il ne faudrait pas voir ça comme si je dirais que rien n’existerait non plus, au risque du déni de réalité qui pourrait bien se comparer à l’autisme, la schizophrénie ou on ne saurait quoi d’autre du genre.
Comme je venais de te dire, je pourrais répondre en disant simplement que la liberté comme le transhumanisme seraient des choses qui n’existeraient pas vraiment, ce que je crierais sur tous les toits depuis un bon moment (voir La vraie définition du transhumanisme dans ce site). << Liberté >> ne serait donc pas une injonction si elle existerait, mais celle avec un petit << l >> le serait sous de multiples formes, dont entre autres : le coup de poing ou pied, les aléas de la vie comme tout ce qui serait tâche à accomplir par nécessité (après coup), nos lois lorsqu’elles ne considèreraient pas x chose (après coup), etc.
Pour les mondes identiques, non, ça n’existerait pas non plus et au dire de… comme sans doute les multivers, les mondes parallèles, etc. Avant de dire aussi << les atomes >>, en quoi consisteraient-ils (leur définition), un principe d’incertitude comme d’indétermination de Heisenberg pouvant les recouvrir puisque nous n’en connaîtrions pas tous les constituants quantitativement et qualitativement? Ne les étudierions-nous pas par ou non l’intermédiaire du fameux LHC, ce qui serait du domaine de la recherche fondamentale (la matière et l’énergie noires, les trous noirs…)? Est-ce que même Einstein n’avait pas dû se débarrasser de la notion de simultanéité absolue (peu importe)?
Concernant l’algorithmique, elle pourrait nous être utile jusqu’aux dernières nouvelles. Le danger serait plutôt tout réductionnisme dans quelque domaine en affirmant, entre autres, que la conscience serait réductible à quelque processus chimique mesurable, alors qu’il ne serait pas à être séparé de la physique, la biologie, la psychologie et la sociologie (inconnu). Donc, la liberté n’existerait bel et bien pas encore une fois, parce que nous ne pourrions pas identifier quelque causalité que ce soit dans le but d’expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivrions toujours.
Merci pour ton intervention tout en espérant avoir pu t’aider.
en réponse à : L'ontologie comme fondement des sciences #7575Bonjour Dallas. Premièrement, on excusera les fautes de mon intervention ici-haut dont j’aurai même demandé que l’on nous donne indéfiniment la possibilité d’effacer et de corriger comme dans certains sites, mais sans succès on m’aurait répliqué.
Je pourrais tout simplement te répondre que la liberté comme le transhumanisme n’existeraient tout simplement pas, ce que je crierais sur tous les toits depuis longtemps (voir La vraie définition du transhumanisme dans le présent site). << Liberté >> ne serait donc pas une injonction si elle existerait, mais liberté avec un petit << l >> oui et sous de multiples formes : coup de poing, coup de pied, de multiples imprévus dans les aléas de la vie comme tout ce qui serait tâche à accomplir par nécessité (après coup).
Pour les mondes identiques, non, ça n’existerait pas non plus, comme sans doute les mondes parallèles, les multivers, etc. Pour dire aussi << les atomes >>, que serait d’abord et avant tout un atome dont nous saurions qu’un principe d’incertitude comme d’indétermination d’Heisenberg le recouvrerait, d’où la recherche fondamentale de type ou non LHC se faisant actuellement pour ses constituantes? Est-ce que même Einstein n’avait pas dû rejeter aussi la notion de simultanéité absolue dans le domaine de la physique?
Pour l’algorithmique, elle nous serait utile aux dernières nouvelles. Le danger serait tout réductionnisme dans quelque domaine en affirmant que la conscience serait réductible à quelque processus chimique mesurable, alors qu’il ne serait pas à être séparé de celui physique, biologique, psychologique et sociologique (inconnu). Donc, la liberté n’existerait bel et bien pas encore une fois, parce que nous ne pourrions identifier quelque causalité que ce soit dans le but d’expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivrions toujours.
Merci pour ton intervention tout en espérant de t’avoir aidé.
- AuteurMessages