Écrire l’avenir, ensemble. Forums Discussions L'ontologie comme fondement des sciences

10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
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  • Anonyme
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    Nombre d'articles : 1

    Si nous définirions assez exclusivement l’ontologie comme le questionnement philosophique à propos de l’être, par extension sur tout ce qui existerait en termes d’objet, de chose, d’événement, etc., ne serait-ce pas ce qui pourrait effectivement nous être le plus signifiant et utile? Mais, surtout, ne serait-ce pas ce que nous ferions assez instinctivement dans le but d’expliquer ce monde complexe dans lequel nous vivrions et qui pourrait parfois défier notre imagination? L’être humain pouvant fonctionner cependant assez exclusivement en vase clos, avec des oeillères, ne voyant pas plus loin que le bout de son nez comme au-delà de l’horizon, l’arbre cachant la forêt, etc., son monde ne resterait-il pas par conséquent à être (re)définie relativement à certains éclaircissements? Tout ce qui existerait pouvant être flou, se tarir, voire disparaître, ne serait-il pas exact si nous affirmerions que tous nous nous poserions des questions, et ce, plus ou moins systématiquement comme en fonction de nos connaissances du moment?

    Dès ses origines, l’homme aurait été mis en contact avec un environnement qu’il ne contrôlait pas, qu’il ne maîtrisait pas, qui pouvait en quelque sorte lui échapper et à l’exemple d’une << réalité échappée >>. Est-ce que dès lors il n’avait pas essayé d’en connaître les constantes universelles (lois) dans le but d’en expliquer les aléas, voire les contrôler comme les prédire par quelque technologie consécutive? Ces technologies n’étant toujours pas la Connaissance, la Vérité, l’Absolu (des majuscules), pouvant en quelque sorte quantitativement et qualitativement être insuffisantes comme devenir non ou insignifiantes, est-ce que toujours par le questionnement et la recherche fondamentale, il n’avait pas eu le choix d’essayer autre chose pour circonscrire l’univers dans lequel il se croyait inclus, quoique déjà cette notion pouvait faire problème, de l’infiniment petit à l’infiniment grand? Est-ce que plus subtilement, ce ne serait pas par de nouveaux concepts qu’il pouvait évoluer?

    Déjà par ces quelques lignes et avant de continuer, ne pourrions-nous pas comprendre que ceux comme liberté, libre-choix ou libre-arbitre pourraient être sérieusement mis à mal? Ayant vécu pour soi-même, n’aurions-nous pas enfin compris qu’un accident serait toujours si vite arrivé dirions-nous sociologiquement parlant, et ce, toujours dans le but de réduire cette part d’aléatoire comme de hasard qui, après coup et après avoir bien regardé, ne pourraient toujours pas exister? Combien malheureusement d’entre nous pourraient aussi encore s’accrocher à ces concepts par entre autres ses multiples conditionnements, tout en pouvant manquer dans nos propos par conséquent de cohérence, ce dernier concept pouvant pourtant être cher à nos yeux lorsque le moindrement nous échangerions et pour que cela tienne la route comme nous dirions aussi sociologiquement parlant? Que de conditionnements ancestraux au fond pourraient bien nous gouverner et souvent à notre insu.

    J’aimerais terminer en faisant référence d’Oracle et du transhumanisme dans les quelques sujets de discussion du présent site. N’étant pas libre pour personne d’entre nous, ce serait la raison pour laquelle ces derniers ne pourraient pas exister. Le premier parce que nous ne saurions pas ce que serait un univers dystopique et, à l’inverse, utopique. Tout ce que nous saurions cependant ce serait que nos IA de la Xième génération et maintenant, seraient assez bien contrôlées aux dernières nouvelles et que, conséquemment comme aurait pu le faire remarquer Gaëtan dans quelque vidéo (fondateur de THE FLARES), le bonheur général des gens sur la planète semblerait lentement mais sûrement progresser. Pour le transhumanisme, si nous utiliserions comme exemple effectivement le bout de bois de Gaëtan, n’équivalent toujours pas la dextérité et… d’un bras allongé ou augmenté, ce serait la raison pour laquelle il n’existerait pas tout en devant fournir un effort pour le soulever en plus de ce qui nous servirait comme moyen de subsistance.

     

    Dallas
    Participant
    Nombre d'articles : 1

    Une chose m’a intrigué dans ton message, si je comprend bien, selon toi, ” Liberté ” n’est qu’une injonction du comportement humain, une sorte de réalité sans majuscule, et comme ce dernier est typiquement humain, il serait amené à se refaçonner via le transhumanisme, ce concept serait amené à changer, voir à périclité. Comme beaucoup d’autre notions sans doute…

    Seulement, si je prend ce concept particulier, qu’est la ” Liberté “, il n’existerait dans l’absolu, seulement si, un choix peut, dans une mesure se prémunir de toute influence ou déclenchement lié à l’environnement comme on l’entend en physique pure.

    Par exemple il y à 2 mondes

    Monde 1

    Monde 2

    Ces deux mondes sont identique, absolument semblables et composé d’exactement les mêmes atomes, originel tous deux de la même impulsion. Dans ces ceux mondes vois-tu, je tiens un stylo à la main, mais il me glisse des doigts :

    Monde 1 : Je décide de me pencher, et je le ramasse.

    Monde 2 :  Je décide, par fainéantise, de plutôt saisir le crayon dans ma poche.

    Est-ce seulement possible ?  A’ priori, non. Les 2 Mondes doivent recourir à la même décision (que j’aurai eu l’impression d’avoir prise en total libre arbitre)

    Si ont suit la logique algorithmique, qui est le fer de lance de la pensé transhumaniste, ma conscience n’est qu’un processus chimique mesurable et prédéterminé par la causalité de mon environnement direct. Donc la Liberté n’existe pas, car tout découle d’un seul mouvement, comme si, d’une certaine façon, le monde dans sa longévité, existait déjà par le truchement de la notre, le Futur serait déjà là, en toute entièreté,  mais impalpable et indéfinissable.

    Indéfinissable… mais peut-être pas pour le transhumanisme, ou même bien, bien, bien au delà de ce concept, car si le monde n’est que calcule, rien ne dit qu’il est impossible qu’il deviennent entièrement prévisible, puisqu’à priori, l’Univers est déjà là, mais pas dans le Temps.

    Seulement, si la Liberté n’existe pas, et que chaque mots que je tape étaient amené à être écrits depuis déjà bien longtemps. L’ignorance que nous en avons, constitue malgré elle, sont concepts même. Donc mon résonnement me dicte que le pire ennemie de la Liberté sont…les algorithmes…

    Si nous poursuivons nos recherche, la Liberté, va mourir de son propre aveu d’inexistence. Peut importe ce qui nous succédera, elle ne sera jamais libre, et ce, de manière bien plus viscérale que toi ou moi, et je trouve cela glaçant.

    Jocelyn Beaudry
    Participant
    Nombre d'articles : 8

    Bonjour Dallas. Premièrement, on excusera les fautes de mon intervention ici-haut dont j’aurai même demandé que l’on nous donne indéfiniment la possibilité d’effacer et de corriger comme dans certains sites, mais sans succès on m’aurait répliqué.

    Je pourrais tout simplement te répondre que la liberté comme le transhumanisme n’existeraient tout simplement pas, ce que je crierais sur tous les toits depuis longtemps (voir La vraie définition du transhumanisme dans le présent site). << Liberté >> ne serait donc pas une injonction si elle existerait, mais liberté avec un petit << l >> oui et sous de multiples formes : coup de poing, coup de pied, de multiples imprévus dans les aléas de la vie comme tout ce qui serait tâche à accomplir par nécessité (après coup).

    Pour les mondes identiques, non, ça n’existerait pas non plus, comme sans doute les mondes parallèles, les multivers, etc. Pour dire aussi << les atomes >>, que serait d’abord et avant tout un atome dont nous saurions qu’un principe d’incertitude comme d’indétermination d’Heisenberg le recouvrerait, d’où la recherche fondamentale de type ou non LHC se faisant actuellement pour ses constituantes? Est-ce que même Einstein n’avait pas dû rejeter aussi la notion de simultanéité absolue dans le domaine de la physique?

    Pour l’algorithmique, elle nous serait utile aux dernières nouvelles. Le danger serait tout réductionnisme dans quelque domaine en affirmant que la conscience serait réductible à quelque processus chimique mesurable, alors qu’il ne serait pas à être séparé de celui physique, biologique, psychologique et sociologique (inconnu). Donc, la liberté n’existerait bel et bien pas encore une fois, parce que nous ne pourrions identifier quelque causalité que ce soit dans le but d’expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivrions toujours.

    Merci pour ton intervention tout en espérant de t’avoir aidé.

     

     

    Jocelyn Beaudry
    Participant
    Nombre d'articles : 8

    Bonjour Dallas. J’ai décidé de modifier le moindrement ce que je venais tout juste de te répondre, tout en espérant que ce qui suivra ne pourrait pas paraître comme un spam (une répétition) dans la présente tribune. Comme je venais de te dire aussi, on excusera mes fautes dans ma précédente intervention que je n’ai pas pu modifier ou éliminer, THE FLARES m’ayant répondu que ce ne pourrait pour l’instant être possible. Dans ce qui va suivre, il ne faudrait pas voir ça comme si je dirais que rien n’existerait non plus, au risque du déni de réalité qui pourrait bien se comparer à l’autisme, la schizophrénie ou on ne saurait quoi d’autre du genre.

    Comme je venais de te dire, je pourrais répondre en disant simplement que la liberté comme le transhumanisme seraient des choses qui n’existeraient pas vraiment, ce que je crierais sur tous les toits depuis un bon moment (voir La vraie définition du transhumanisme dans ce site). << Liberté >> ne serait donc pas une injonction si elle existerait, mais celle avec un petit << l >> le serait sous de multiples formes, dont entre autres : le coup de poing ou pied, les aléas de la vie comme tout ce qui serait tâche à accomplir par nécessité (après coup), nos lois lorsqu’elles ne considèreraient pas x chose (après coup), etc.

    Pour les mondes identiques, non, ça n’existerait pas non plus et au dire de… comme sans doute les multivers, les mondes parallèles, etc. Avant de dire aussi << les atomes >>, en quoi consisteraient-ils (leur définition), un principe d’incertitude comme d’indétermination de Heisenberg pouvant les recouvrir puisque nous n’en connaîtrions pas tous les constituants quantitativement et qualitativement? Ne les étudierions-nous pas par ou non l’intermédiaire du fameux LHC, ce qui serait du domaine de la recherche fondamentale (la matière et l’énergie noires, les trous noirs…)? Est-ce que même Einstein n’avait pas dû se débarrasser de la notion de simultanéité absolue (peu importe)?

    Concernant l’algorithmique, elle pourrait nous être utile jusqu’aux dernières nouvelles. Le danger serait plutôt tout réductionnisme dans quelque domaine en affirmant, entre autres, que la conscience serait réductible à quelque processus chimique mesurable, alors qu’il ne serait pas à être séparé de la physique, la biologie, la psychologie et la sociologie (inconnu). Donc, la liberté n’existerait bel et bien pas encore une fois, parce que nous ne pourrions pas identifier quelque causalité que ce soit dans le but d’expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivrions toujours.

    Merci pour ton intervention tout en espérant avoir pu t’aider.

    jfilgood
    Participant
    Nombre d'articles : 11

    Bien, ces messages sont très intéressants et très compliqués pour moi. Je comprends les notions et les questions que cela pose je pense. Je vais donc essayer de résumé pour simplifier les choses avant de répondre. Résumer, beaucoup. L’idée de vos discussions est d’une part de savoir si tout existe aujourd’hui et pour toujours : passé, présent, avenir. D’autre part, savoir si alors, ces événements sont modifiables ou si, tout existant déjà, tout est comme figé : actions, mouvements, pensées, trajectoire des électrons… mais aussi passé et devenir de(s) univers… une sorte de déterminisme de tout, pour tout et partout, dans tous les temps : qu’il s’agisse de matière ou de concept abstrait comme la pensée, la conscience, la liberté, la réalité…

    Essayer d’expliquer ce(s) monde(s) autrement : par une méthode philosophique ou métaphysique, transforme souvent les difficultés scientifiques en difficultés de rhétorique : trouver les mots, les mots justes pour exprimer ses pensées devient quasiment impossible. Nous n’avons pas une science suffisante, et nous réalisons que notre vocabulaire ne suffit pas non plus, ou alors, cela devient incompréhensible, pardonnez-moi.

    Revenons à la science pour illustrer un propos : les corps sombres : matière et énergie, nous prouve pour l’instant que nous voyons une réalité sans doute totalement fausse. Pourtant la science a progressé de manière incroyable et exponentielle. Les ordinateurs et leurs intelligences artificielles nous permettent des calculs et des compétences que l’on pourrait qualifier de presque divine ! Mais hélas, plus la connaissance avance, plus sa valeur recule. Autrement dit : plus on en sait, moins on en sait.

    Peut-être que cela veut dire que la compréhension ultime est impossible à atteindre : comme une valeur sans limite, infinie. Comme pour Pi, le Savoir serait un horizon, s’en rapprocher serait alors impossible. Le chercher nous en éloignerait à chaque fois un peu plus. Notre Connaissance pourra toujours augmenter mais jamais elle n’attendra un tout, le Tout.

    Jocelyn Beaudry
    Participant
    Nombre d'articles : 8

    Je ne saurais trop si ce serait pour toujours, mais dans le but peut-être de pas trop compliquer les choses sans passer ou brûler quelque étape, ne pourrions-nous pas commencer par aujourd’hui? Le passé, le présent, le futur, etc., ne sachant pas vraiment ontologiquement ce que serait le temps, tout en utilisant cependant des concepts – je vous l’accorderais -, qu’est-ce que ce serait au juste? Est-ce que ces notions ne seraient pas déjà fortement biaisées, connotées, fausses en fonction de nos propres définitions du moment? Pour résumer les choses, est-ce que même le mot résumé, ne serait pas problématique, mais tout en voulant me dire de votre part que vous ne me donneriez pas toutes les informations nécessaires pour que je puisse vous répondre correctement? Serait-ce correct et éthique selon quelque critère objectif, quoique l’objectivité ferait problème en fonction de critères que vous et moi devrions connaître préalablement?

    Pour le reste, tout existerait bel et bien toujours, mais pour vous et moi, un coup de pied au cul dirait H.L., qu’est-ce que ce serait et après l’avoir ou non reçu? D’où viendrait-il, pourquoi, comment, etc.? Sur le plan de l’ontologie, qu’est-ce que ce serait au juste, mais tout en pouvant bel et bien exister, ce qui ne serait pas contradictoire? Et, bien sûr, par extension, qu’est-ce que serait l’atome que l’on supposerait être à la base de tout et pour relativiser? Qu’est-ce que serait la vie qui en serait faite? Qu’est-ce que serait tous les niveaux d’organisation, de la matière disons inanimée à celle animée, cette distinction elle-même pouvant être problématique en quoi que ce soit? Qu’est-ce que serait les mots que j’utiliserais qui pourraient pourtant fortement être biaisés, connotés, etc. Est-ce que cela ne nous rappellerait rien (lire le paragraphe plus haut)? Pour le reste, étant d’un naturel optimiste, n’ayant pas le choix de vivre non plus, nous nous démerderions avec ce qui existerait déjà, mais selon vos propres dires, qui ne serait jamais un absolu, ce qui serait exact.

    jfilgood
    Participant
    Nombre d'articles : 11

    Bonjour,

    Merci de répondre, ce forum est peu fréquenté, et tant que tout nouvel abonné, je prends plaisir à répondre à tous ces sujets, quelque peu abandonnés. Mais vous êtes toujours présente super ! J’ai l’impression de vous avoir froissé, j’en suis désolé. C’est que je ne comprends pas bien ce que vous dites, par ma faute, et par ma mémoire très variable… Je n’ai pas les compétences tout simplement. Dès le début j’aurai dû me méfier du mot ontologie… dont je ne comprends que peu la définition. Philosophie, ou métaphysique sont des notions difficiles à appréhender pour moi. J’aime lire ce genre de choses, même si cela reste abstrait. J’aime écouter ces reportages, ou conférences, même si idem cela me dépasse, Etienne Klein par exemple, entre autre. Mais j’écoute cela, un peu comme une langue étrangère, je trouve cela beau, comme une musique, espérant comprendre de mieux en mieux. Je progresse quand même heureusement, l’astronomie m’est de plus en plus familière.

    Alors merci de cette réponse, je continuerai de participer dans cette communauté, quelque peu absente. Mais aujourd’hui au moins, je sais que vous m’avez entendu, donc je ne suis pas seul dans cet univers !! Bonne soirée à vous.

    Jocelyn Beaudry
    Participant
    Nombre d'articles : 8

    Non, je ne serais pas toujours présent sur cette plateforme, ayant cependant reçu votre message dans ma boîte à courriels, mais comme je pourrais aussi répondre sous certaines vidéos YouTube. Et, non, vous ne m’auriez que si peu froissé, sinon, pas du tout, certains aspects de ce qui serait une connaissance pouvant être toutefois assez mal généralisés (structure, niveau d’organisation, régulation…). Aussi, n’étant pas moi-même parfait, la perfection n’étant non plus de ce bas-monde, dirait l’expression sociologique connue (me lire plus haut), il m’arriverait aussi de ne pas comprendre.

    Pour le reste, pour ce que j’aurais encore mentionné, si vous sauriez lire comme moi, ce serait tout simplement que cet univers nous échapperait et comme pourrait le faire une savonnette humide entre nos doigts. Que par conséquent, quoiqu’aussi pour la philosophie pourrions-nous croire à l’origine des sciences, il y aurait l’ontologie qui s’y serait plus particulièrement intéressée. Je pourrais vous confirmer que, à la petite école ou pas, ontologie pourrait juste vouloir dire, pour le préfixe onto, être, et pour le suffixe logie, maison, logos, étude, ou dans le genre (l’étude de l’Être, comme de toute chose).

    Sachant cela, je ne pourrais que vous répéter que l’univers, voire quoi que ce soit d’autre pouvant nous échapper, que ce ne serait par conséquent qu’une (re)définition qui pourrait être le plus à même de nous aider. Mais que, malheureusement, on le saurait par expérience, sans jamais que ce soit un absolu, ne choisissant pas vraiment quoi que ce soit, la liberté n’existant pas vraiment (le hasard non plus cependant), un accident (contingence) étant toujours si vite arrivé. Combien de fois, effectivement, aurions-nous pu penser ceci ou cela, alors que serait arrivé x (intempéries, catastrophes, événements, etc.)?

    Pour la métaphysique, nous n’aurions peut-être pas à nous en faire, car aux dires de certains, ce que nous viendrions déjà de considérer… ça pourrait déjà en faire partie. Mais, trêve de philo, de science, autre ou pas, nous aurions vécu pour nous-même, et saurions que, ne serait-ce qu’à l’occasion, nous prendrions conscience que la vie ne serait pas un long fleuve tranquille (expression connue). Que par conséquent, il faudrait s’informer du mieux que l’on pourrait, parfois avec les moyens du bord, ce que serait déjà la science qui ne serait jamais un absolu, mais quand même un minimum pour agir.

    Merci à vous de m’avoir lu et bonne chance dans votre vie.

     

    jfilgood
    Participant
    Nombre d'articles : 11

    Se comprendre soi-même pour comprendre ce qui nous entoure… je vais rester la dessus. Car savoir se comprendre commence aussi par savoir se faire comprendre… Au plaisir.

    Jocelyn Beaudry
    Participant
    Nombre d'articles : 8

    Les mots pouvant effectivement faire problème comme être insuffisants, ne trouveriez-vous pas que ce genre de phraséologie serait problématique parce que contradictoire? Et au plaisir diriez-vous?! Mmm, il me semblerait déjà avoir entendu ou lu ça quelque part… Quoiqu’il en serait, si on nous dirait qu’une pomme serait à la fois verte et rouge, ou blanche et noire, si ce ne serait un pur délire, est-ce que ça se pourrait? Si oui, pour quelle raison que pourrait nous fournir la personne, ce qui pourrait prendre ou non une certain temps à savoir? Se serait-elle mise à notre place aussi pour savoir la tête que l’on ferait après une telle annonce, sans plus de détails? De toute façon, comme j’aurais mentionné plus haut, tous les termes auraient une certaine connotation, donc une certaine définition en fonction des personnes, des contextes, des expériences. Pour exemple, le mot chien pourrait mordre pour un membre du crime organisé, alors que pour d’autres, il serait aussi gentil que le caniche de la vieille dame qui n’aurait que ce seul compagnon pour finir ses jours.

    Soit dit en passant et comme contexte similaire, vous me feriez penser à ma mère âgée souffrant de surdité. Elle me dirait qu’elle ne m’entendrait pas parfois suite à tel ou tel appel que je ferais (la sonnerie étant bizarre, etc.). Je ne m’en plaindrais pas, mais tout en l’avertissant ou l’informant de la situation pour qu’elle puisse s’ajuster si elle en serait capable. Elle me répèterait constamment que ce serait dû au fait qu’elle serait trop vieille, etc. Moi, je lui répéterais constamment que je le saurais, elle, pouvant du surcroît avoir des problèmes de mémoire, parlant pour dire ce que tous saurions déjà (radotant), devant me rappeler x, etc. Nous saurions vous et moi que, plus fondamentalement, ce serait dû à sa surdité, et ce, même si elle serait en quelque lieu autrement éloigné. Mais, elle, ne se mettant pas à ma place tout en devant essayer de savoir, que voudrait-elle dire? Sur quoi devrais-je mettre un certain accent vigilant, ne m’ayant jamais dit où elle ne m’entendrait plus précisément… Oui, ce serait difficile d’aider nos proches âgés et de devoir s’adapter.

    Pour le reste, que pourrais-je ajouter d’autre? Se comprendre soi-même en fonction de ses conditionnements ou connaissances, oui, ce serait tout à fait ça pour nous tous. À ce sujet, un certain Henri Laborit aurait pu affirmer que nous ne serions que les autres, et ce, du physique au sociologique en passant par le biologique et le psychologique. Ne serions-nous pas faits effectivement des mêmes particules subatomiques, molécules biologiques, conditionnements, sociocultures? Enfin, pas tout à fait, et tout dépendamment de l’expérience comme des acquis scientifiques que nous aurions pu faire ou savoir de ces différents niveaux d’organisation. Déjà, la notion de niveau d’organisation pourrait en rebuter plus d’un, pourquoi? Ne serait-ce pas parce qu’ils pourraient avoir quelque préjugé ou jugement de valeur socioculturel à propos de cette notion, qui ne serait plus fondamentalement d’ailleurs aucunement en lien avec les hiérarchies de dominance qui pourraient régner dans nos sociétés?

    Merci encore pour votre intervention, tout en espérant vous avoir appris quelque chose.

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