Quels seront les moyens de transports du futur ?

Une des choses qui caractérise à la fois le progrès technologie et l’avancée de notre espèce à travers les siècles, c’est bien la façon dont on se déplace. D’ailleurs, lorsqu’on regarde les vieux films, une des premières choses qui nous saute aux yeux c’est bien la gueule des voitures.

À travers l‘histoire, on a constamment essayé d’améliorer nos moyens de transport. Car si notre seule solution c’était de marcher ou de courir, difficile d’imaginer le retard technologique que l’on aurait. On a domestiqué le cheval, utilisé des calèches, conçu des navires à voiles, des trains à vapeur, le vélo, des voitures, des bateaux de toutes les tailles, des métros. On a même conquis les airs, ce qui est quand même remarquable. Faut pas oublier qu’en 1900, on ne savait pas comment faire voler un engin, 70 ans plus tard on était sur la Lune. En une seule génération. C’est fou, imaginer une personne qui naît en 1890, qui assiste au cours de sa vie à toute l’évolution de l’aéronautique, du premier succès par les frères Wright jusqu’au premier vol transatlantique en 1919, les dirigeables, avions de guerre puis les premiers vols commerciaux, les premiers essais de fusée et qui assiste, à l’âge de 80 ballets, aux premiers pas de l’homme sur la Lune en 1969. Incroyable.

Il est facile de regarder autour de soi, à son époque et de se dire qu’on a atteint une sorte de summum des moyens de transport. Qu’on ne fera rien de plus rapide qu’un TGV, qu’on ne pourra jamais faire un Paris-Sydney en moins de 20h de vol. Mais c’est un peu être rabat-joie quand même ! La seule limite en termes de moyen de transport, c’est les lois de la physique. Le reste, ce n’est qu’un problème d’ingénierie et de ressources.

Alors on va regarder ce qui est prévu dans les prochaines décennies et qui pourrait changer drastiquement la façon dont on se déplace. On a déjà vu dans une précédente vidéo ce qui nous attend au niveau de la circulation urbaine, au coeur de nos villes. Mais ici, on va élargir pour englober les trajets courts, longues distances et au-delà.

1. Les voitures autonomes

Conduire va devenir un hobby. Quelque chose que l’on fait le dimanche, sur des routes spécialisées. Tout comme aujourd’hui, on ne va pas au boulot à cheval, mais on en fait pour le plaisir. Les voitures autonomes c’est un concept qui est passé de la Science Fiction à la réalité en à peine 10-15 ans. La plupart des constructeurs automobiles travaillent sur des prototypes, et de nombreux véhicules disposant d’un certain niveau d’autonomie existent déjà. En faite, le concept d’autonomie des véhicules ne date pas d’hier. C’est une évolution progressive. Il existe 5 niveaux d’autonomie :

• Niveau 0 : Aucune autonomie. Le conducteur a un contrôle total.
• Niveau 1 : Assistance au conducteur : L’automatisation est présente pour certaines fonctions du véhicule, mais ne font qu’assister le conducteur qui garde le contrôle global. Par exemple, le système antiblocage des roues (ABS)
• Niveau 2 : Automatisation de fonctions combinées : Le contrôle d’au moins deux fonctions principales est automatisé pour remplacer le conducteur dans certaines situations. Le régulateur de vitesse tout comme l’assistant au stationnement entrent dans cette catégorie.
• Niveau 3 : Conduite autonome limitée : Le conducteur peut céder le contrôle complet du véhicule au système automatisé. Cependant la conduite autonome ne peut avoir lieu que dans certaines conditions (uniquement sur autoroute par exemple).
• Niveau 4 : Conduite autonome complète sous conditions : Le véhicule est conçu pour assurer seul l’ensemble de la conduite sur un trajet complet. Le conducteur fournit une destination, mais n’est pas tenu de se rendre disponible pour reprendre le contrôle. Il peut d’ailleurs quitter le poste de conduite et le véhicule est capable de circuler sans occupant à bord. Mais il existe quand même la possibilité de reprendre le volant en mode manuel.
• Niveau 5 : Conduite complètement autonome sans l’aide de conducteur dans toutes les circonstances. Donc là le véhicule n’est même plus équipé d’un volant ou de pédales. Il n’est absolument plus fait pour la conduite humaine.

Aujourd’hui, on en est plus ou moins entre le niveau 3 et 4. La Google, car, ou encore les Tesla ont prouvé leur fiabilité en autonomie de niveau 3. Tesla a déclaré qu’ils espéraient réaliser un test de niveau 4 d’ici la fin de l’année. Leur but est de partir de Californie, entrer une destination qui se trouve sur la côte Est via le GPS, disons New York, et laisser la voiture conduire tout le long. Sans aucune intervention humaine. Elon Musk, le patron de Tesla, pense que le niveau 5 sera atteint d’ici 2 ans, mais que même si la technologie est prête, il faudra le temps de mettre en place toutes les lois, régulations, mettre à jour le Code de la route, etc. Donc on peut se dire que les voitures autonomes vont débarquer en masse dans années 2020. Ce sera bien sûr d’abord dans des pays développés, et dans les grandes villes. On voit mal les voitures autonomes perdues au milieu du chaos routier qu’est l’Inde.

En 2015, 94 % des accidents de la route étaient liés à une erreur humaine aux États-Unis. Et c’est une statistique qui doit varier autour des 90% à l’échelle mondiale. Inutile de parler longtemps des bénéfices des voitures autonomes sur la sécurité routière.
Selon des prévisions, lorsque tous les véhicules seront autonomes, ils pourront circuler sur l’autoroute jusqu’à 300 km/h sans soucis, car tous connectés. Un sacré temps de gagné aussi sur les trajets. Et le concept de posséder sa propre voiture va peut être devenir plus rare, car une flotte de véhicule autonome sera disponible à portée de main. On pourra réserver une voiture pour qu’elle vienne nous chercher. Une sorte de système de taxi autonome. Du coup, si vous prévoyez de devenir chauffeur de taxi dans les prochaines années, je vous encourage vraiment à reconsidérer ce choix. Tout comme chauffeur routier. Car l’automatisation touchera aussi les camions. Et si vous voulez mon avis, je pense que ce n’est pas plus mal. Je n’ai rien contre les chauffeurs routiers, mais passer toute la journée le cul poser dans un habitacle c’est pas top pour la santé. De nombreux routiers connaissent des problèmes physiques après des décennies d’activités. Et les accidents de la route concernant les semi-remorques, généralement, ils sont impitoyables.

On passe un temps fou sur les routes. Temps où l’on ne peut rien faire d’autre que conduire (et à la limite, écouter de la musique, mais c’est secondaire). Donc ne plus conduire signifiera libérer du temps dans notre journée, et pour beaucoup, ce sera une bonne nouvelle. Ça permettra aussi une plus grande mobilité pour les mineurs, les personnes âgées, les handicapés ce qui peut avoir des bénéfices dans la vie sociale des gens. Et bien sûr, les fêtards seront les grands gagnants : ”Boire ou conduire il faut choisir” sera un slogan obsolète dans peu de temps, ce qui doit en réjouir plus d’un.

2. E-palette

Toyota, le deuxième plus grand constructeur automobile du monde s’attaque aux services de mobilité et de livraison à l’ère des voitures autonomes. Apparemment, cela implique des boîtes transparentes un peu bizarres qui traversent les villes, livrant des personnes, des paquets et autres. C’est une sorte de mélange entre un système de transport, et un endroit pour faire autre chose en fonction des besoins. Une fusion entre industrie High-tech, et transport.

Toyota travaillera avec Amazon, Mazda, Pizza Hut et Uber en autres. Le géant japonais a déclaré qu’il espérait lancer son projet e-Palette aux Jeux olympiques de 2020 à Tokyo. Ca semble assez farfelu vu de loin, mais ça nous renseigne sur la tendance vers laquelle on se dirige qui est d’intégrer des services variés aux transports. Vu que les véhicules seront autonomes, il faut bien occuper les passagers. Donc, pourquoi pas avoir une voiture-restaurant. Une voiture-bar. Une voiture-magasin de chaussure. Une voiture-atelier. Bref, vous voyez l’idée. L’avantage d’e-Palette c’est que les espèces de minivans sont entièrement personnalisables par des sociétés, voir même des individus s’ils peuvent se le permettent.

3. The Loop system

Elon Musk, encore lui, est derrière une autre compagnie impliquée dans le système de transport. Faire des voitures autonomes et électriques avec Tesla, ça n’occupe pas suffisamment de son temps apparemment. Avec The boring company, il souhaite creuser des tunnels pour alléger le trafic dans les zones à forte congestion. D’où le nom Boring company, qui signifie en Anglais forer. Mais également chiant. Donc sa boite s’appelle littéralement l’entreprise chiante. Il a de l’humour ce geek !

L’idée est de construire un réseau de tunnels à plusieurs niveaux, accessible depuis la surface par un système d’ascenseur, et d’être propulsé à plus de 200km/h. Avoir plusieurs niveaux permet de ne jamais se retrouver bloqué par un autre véhicule devant. Avec un réseau de tunnels sur 10, 20, ou 30 couches de profondeur, il est évident que ce type d’infrastructure en 3D permettrait de répondre aux besoins routiers de n’importe quelle ville, quelle que soit sa taille.

Et comme à son habitude, Elon Musk ne fait pas que promettre révolution après révolution, il bosse dur. The boring company a déjà commencé à creuser des tunnels en Californie et les premiers tests sont attendus cette année. Il a également signé un accord avec la ville de Chicago pour établir un Loop system reliant le centre-ville à l’aéroport 3 à 4 fois plus rapidement que la normale. Et il a proposé un système connectant New York à Washington DC, de quoi fluidifier drastiquement le trafic de ces grandes métropoles.

Les avantages des systèmes de transport souterrains comprennent:
Pas de bruit de surface et de vibration. La construction et l’exploitation du tunnel seront silencieuses, invisibles et imperceptibles à la surface. Confortable et pratique pour les passagers. Des vitesses plus élevées et des alignements plus droits sont possibles en raison de contraintes souterraines moins importantes qu’en surface. Et le système n’est pas affecté par la météo.

The Boring Company prévoit également des capsules pour piétons, afin de parcourir la ville sous terre. On pourrait se dire que c’est un nouveau métro. Mais non. Déjà, c’est bien plus rapide, et c’est sur plusieurs niveaux de profondeur. Donc chaque wagon peut contourner les autres qui sont à l’arrêt. Mais creuser des tunnels prend beaucoup de temps. Apparemment, un escargot se déplace 14 fois plus rapidement qu’une machine de forage. Il semblerait que la technologie de forage n’évolue que très peu. Heureusement, on parle d’Elon Musk qui a souvent tendance à repenser la façon dont fonctionnent les outils et technologies impliqués dans les entreprises qu’il a créés. Du coup, The Boring Company innove dans ce secteur. Leur but est de réduire les coûts de forage par 10, et de battre un escargot à la course.

4. L’Hyperloop

Lorsqu’il s’agit de se déplacer sur de longue distance, et le plus rapidement possible, aujourd’hui on a le choix entre avion et train. Demain, un nouveau moyen de transport va s’ajouter à la liste : L’hyperloop.

Il s’agit d’un long tube maintenu sous basse pression pour limiter les frictions de l’air et qui propulse des capsules par un champ magnétique créé par des moteurs à induction linéaires placés à intervalles réguliers à l’intérieur des tubes. La vitesse de pointe permise par ce système se situe entre 1000 et 1200 km/h. De quoi relier New York et Washington en 30 min, contre plus de 3h aujourd’hui en train. L’idée vient de, je vous laisse deviner …. Eh ben d’Elon Musk.

Mais contrairement à Tesla, SpaceX ou The Boring company, Elon Musk n’a pas créé d’entreprise pour construire des hyperloop. Il encourage plutôt l’aspect open source et collaboratif, et il n’a volontairement déposé aucun brevet. De nombreuses sociétés se sont développées comme Hyperloop One qui possède comme investisseur la SNCF, Hyperloop Transportation Technologies ou encore Transpod.

Le coût estimé de la mise en place est de 11 millions d’euros au km, contre 15 à 30 millions d’euros pour le TGV en France. Et le prix du ticket est annoncé moins cher que celui d’un avion. Elon Musk imagine même rendre le système autosuffisant en plaçant des panneaux solaires sur les tubes, voire générer un surplus d’énergie si l’Hyperloop consomme moins que l’électricité accumulée. Ce qui baisserait considérablement le prix du ticket par passager. On serait plus proche d’un ticket de bus en faite.

De nombreux projets sont en cours aux Etats Unis, en Europe, mais les Emirats Arabes Unis, pourrait être le 1er pays à posséder un système Hyperloop fonctionnel en 2020.

Par la suite ce moyen de transport ultrasonique pourrait permettre de relier de nombreux pays voire le monde en reliant les plus grandes villes comme une sorte de métro, mais à une échelle mondiale. Ce qui fait clairement rêver !

5. Les voitures volantes

Parler de voitures volantes aujourd’hui, ça fait souvent sourire, car peu de gens prennent l’idée au sérieux. Ou alors ils imaginent que c’est pour un futur très lointain. Mais pour des sociétés comme Uber ou Airbus, le discours n’est pas le même. Uber souhaite mettre en place un réseau de taxi volant. Dallas et Los Angeles ont déjà été annoncés comme les deux premières villes de lancement, et une ville internationale fera figure de troisième partenaire. Ces trois villes seront les premières à proposer des vols uberAIR, avec pour objectif des démonstrations du système à partir de 2020 et de débuter les opérations commerciales en 2023.

Appelé V-TOL pour Vertical Take-off and Landing – à décollage et atterrissage vertical. Une sorte de mélange entre un hélicoptère et un drone, et prévue pour être 100% électrique. Donc pas de pollution supplémentaire dans nos villes. Ils seront accessibles sur le toit de certains immeubles, donc clairement, c’est pas près d’arriver dans les petits villages français. L’utilisateur a juste à réserver son vol sur l’application Uber et se rendre à l’héliport de départ. L’aviation sur demande a le potentiel d’améliorer la mobilité urbaine dans les grandes métropoles. Là où des millions de personnes cherchent quotidiennement à se rendre de point A à point B. Plus d’une dizaine de sociétés travaillent sur la faisabilité et le design de ces engins. Mais il y a quand même beaucoup de barrières à franchir. En termes de sécurité, de bruit et la réglementation du trafic aérien. Le prix du ticket et l’accessibilité sont également des points à prendre en compte. Apparemment, Uber vise un prix de départ à environ 5 euros par km, puis après quelques années d’essai, à 40 centimes par km. De quoi nous offrir le choix pour circuler en ville.

Uber n’est pas le seul acteur dans la course aux voitures volantes puisque Airbus, Rolls-Royce, Audi, et Larry Page de Google ont tous des projets sur les rails … ou plutôt dans les airs !

6. Le vol orbital

Aller à l’autre bout du monde en moins d’une heure maximum, assurément, c’est des conneries. Comment cela pourrait être possible ? Si je vous dis Elon Musk, vous voyez qui c’est ? Le mec qui est derrière la moitié des moyens de transport de demain mentionnée dans cette vidéo. Forcément, il fallait finir par lui ! Car avec SpaceX, le monsieur il fait fort. Très fort. Envoyer une fusée en orbite coûte très cher, ce qui fait de ce moyen de transport le moins rentable existant aujourd’hui. Car forcément, quand la moitié de la fusée explose après avec envoyé le cargo dans l’espace, c’est des millions qui partent en fumée. Un peu con. Mais en mettant au point des fusées capables de réutiliser les propulseurs, SpaceX baisse drastiquement les coûts de lancement. C’est logique. Imaginez si les avions de ligne n’avaient qu’un usage unique. Vous entrez dans l’avion, puis une fois arrivé au-dessus de la destination, tous les passagers sautent en parachute et l’avion explose. Vu le prix de fabrication d’un avion, le prix du billet serait de plusieurs millions par personne. Il serait utilisé uniquement par les gouvernements. C’est exactement ce qui se passe avec les fusées. Heureusement, un avion est réutilisé des milliers de fois, donc le prix du ticket est suffisamment accessible pour ne pas être uniquement réservé aux élites.

Si les fusées peuvent être réutilisées des milliers de fois, elles pourront être utilisées comme un moyen de transport de masse. Et c’est un des projets avec le starship. SpaceX détient déjà la plus puissante fusée jamais construite en opération : La falcon heavy, qui possède 2 propulseurs réutilisables. Et ils sont en train de fabriquer le starship, un véritable monstre. 106 mètres de hauteur pour 9 mètres de diamètre. Le premier essai est prévu pour 2020. La starship pourra effectuer plusieurs missions :

• Placer des satellites en orbite
• Ravitailler la Station Spatiale Internationale et transporter des personnes de la Terre vers l’ISS et de l’ISS vers la Terre Permettre des missions lunaires de longue durée.
• Permettre de lancer une mission habitée vers Mars

Mais aussi d’effectuer des vols entre différents points de la Terre. Lors de la vidéo de présentation, on comprend l’idée. Les grandes villes disposeront d’une plateforme en mer, à proximité de leurs côtes. J’imagine que c’est pour le bruit, car le décollage d’une fusée est ce qu’il y a de plus bruyant sur la planète. Pas sûr que les citadins apprécieront entendre une fusée décoller toutes les heures à quelques km de chez eux. On verra comment ils résoudront ce problème. Donc on embarque sur un bateau direction le spatioport (rien que le nom me fait bander !). On monte dans le starship, décollage et en passant par la basse orbite de la Terre, on prend un raccourci énorme pour se rendre, ben n’importe où sur le globe. Et ceux qui pensent que la Terre est plate vont prendre une grosse claque. SpaceX affirme qu’aucun trajet ne prendra plus d’une heure. Avec un New York-Londres annoncé à 30min et que le prix des tickets n’excédera pas ceux des avions.

Bien sûr, toutes les grandes villes ne pourront pas bénéficier de ce système de transport, car il faut de la place pour un spatioport. Mais on trouve une grande partie des plus grandes villes de la planète proche des côtes. Donc par exemple, même si Paris et Londres n’ont pas un accès direct à la mer, il pourrait y avoir un spatioport au milieu de la manche, qui servira à desservir les 2 capitales. Il faudra s’y rendre par train, puis par bateau, donc ça allonge forcément le temps de voyage. Mais au final, c’est pareil pour prendre l’avion. Si je veux aller à Sydney, je dois monter sur Paris, donc prendre le TGV ou y aller en voiture. Ensuite, attendre dans l’aéroport pendant plusieurs heures, etc. Ce qui est crucial ici, c’est qu’au lieu d’avoir un Paris-Sydney à 20-25h de vol, il sera d’une heure. Même si je dois me rendre au milieu de la manche, j’ai meilleur temps de prendre un starship plutôt qu’un avion de ligne.

Parmi tous les moyens de transport présentés dans cette vidéo, le starship est celui qui prendra le plus de temps se démocratiser. Mais ça nous donne une bonne idée des solutions possibles pour voyager dans le monde de demain.

Sans oublier aussi qu’il sera possible de prendre le starship pour un séjour sur la Lune, voir Mars lorsqu’une colonie se trouvera sur la planète rouge. Mais là, on se situe probablement à la fin du siècle. Et si vous vous dites que tous ces moyens de transport sont très loin de voir le jour, gardez en tête que l’espèce humaine à commencer le 20e siècle en ne sachant pas comment faire voler un engin, jusqu’à poser un pied sur la surface de la Lune 69 ans après.